Jérôme Mesnager est un artiste exceptionnel.
Tant par son art singulier, original, créatif et surtout libre que de par sa personnalité attachante, joviale et « enfantine ».
Son « street art » est loin des tags et graffitis souvent rebelles mais bien plus proche d’un art naïf qui fait passer un message tout en douceur.
Et ce n’est pas très courant dans le Street Art.
Jérôme Mesnager me fait penser au Petit Prince de Saint Exupéry qui serait descendu de sa planète pour explorer le monde puis apposer voire imposer son personnage, le fameux bonhomme blanc.
Et c’est exactement ce que Jérôme fait depuis janvier 1983.
Dans les années 80, Jérôme a pris la liberté de marquer des territoires aussi variés que les quais de Seine, les pyramides d’Egypte ou la grande muraille de Chine de son emblématique homme blanc.
De fait, il a su imposer très librement son style unique.
Résultat, il a connu le succès très jeune en faisant vivre et voyager son personnage sur des milliers de supports urbains à travers le monde.
En 1988, il a même publié « Le tour du monde du bonhomme blanc ».
Pour Jérôme Mesnager, l’homme blanc « c’est l’idée de l’homme libre », « l’idée de créer un être idéal », « pour exprimer un symbole de paix voir un symbole de liberté sur la terre ». Ce qui intéresse Jérôme « c’est transformer un lieu, le prendre tel qu’il est, et chambouler tout. »
Depuis maintenant trente ans, à travers l’homme blanc, Jérôme Mesnager déploie un véritable message d’espoir simple et universel pour que tout le monde soit heureux quelque soit la durée de son passage sur la planète terre.
N’est-ce pas là le véritable talent de Jérôme ?
Retrouvez les toiles de Jérôme Mesnager à la galerie Art Jingle à Paris.
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